« C’est un animal qui compte beaucoup parce que c’est un philosophe, la vache (…) Elle nous apprend la lenteur » : écoutez et regardez le cri d’amour de Christian Laborde pour ces bêtes mais surtout son cri d’indignation contre les « usines à lait » où s’entassent des centaines de vaches dans des enclos malsains pour produire toujours plus. Écrivain, pamphlétaire et poète, il défend avec force et humour « La Cause des vaches » (éditions du Rocher) mais également celle des paysans et les paysages.
Le droit des vaches à disposer de l’herbe
Il fallait un écrivain, pamphlétaire et poète comme Christian Laborde pour défendre « La Cause des vaches » (éditions du Rocher) dans un pays où elles sont devenues de plus en plus souvent des « usines à lait » interdites d’herbage et de liberté. « Je me bats pour le droit des vaches à disposer de l’herbe », s’emporte leur avocat qui dénonce les fermes-usines où elles sont entassées à mille dans des enclos malsains pour produire toujours plus.
Cette interview est à écouter en ce moment sur Radio Néoplanète les lundi, jeudi et samedi à 15h45, les mardi et vendredi à 13h45.
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« La cause des vaches » : Le cri d’indignation… par neoplanete-info
Est-il encore temps d’arracher les vaches, les porcs, les poules à l’agrobusiness ?
Christian Laborde monte sur ses grands chevaux pour défendre les vaches, de vraies « philosophes », et à travers elles, « une civilisation menacée par la barbarie qui s’installe ». Est-il encore temps d’arracher les vaches, les porcs, les poules à « l’enfer de l’élevage industriel » ? Une révolution des assiettes qui nous appartient… Nostalgie ? « Oui, dit-il, mais de l’avenir ! »
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