Saviez-vous que Franz-Olivier Giesbert était végétarien ? Entre son bouc et sa perruche surdouée, le brillant journaliste est un amoureux non seulement des animaux mais aussi du tofu ! A l’occasion de la sortie de ses deux derniers livres, L’animal est une personne (Editions Fayard) et Manifeste pour les animaux (Editions Autrement), on aborde avec lui de certains sujets tabous comme la viande halal imposée et le parallèle entre les méthodes de la Shoah et celles de l’industrie de la viande. Ecoutez vite l’interview de l’éditorialiste du Point dont j’adore le franc-parler !
Pourquoi devient-on végétarien ?
Pourquoi être végétarien reste un tabou en France ? Discussion avec un végétarien joyeux et fier de l’être qui nous explique comment il a décidé petit à petit de ne plus manger les animaux.
Le steak in vitro
Le steak in vitro annonce une véritable révolution alimentaire. Avec un tel produit, Franz-Olivier Giesbert serait-il prêt à remanger de la viande et à ne faire qu’une bouchée de son passé de végétarien ?
L’animal, cause perdue ?
Les hommes politiques sont-ils sensibles à la cause animale ? Selon Franz-Olivier Giesbert, ils n’en ont pas les moyens. Au point que nous mangeons halal sans le savoir ce qui n’émeut personne.
Peut-on aimer les animaux quand on est boucher ?
Dans son Manifeste pour les animaux, Franz-Olivier Giesbert donne la parole à un dompteur de tigres et à un boucher, provoc ou largesse d’esprit ?
La Shoah et maltraitance animale
De nombreux penseurs ont fait le parallèle effroyable entre les méthodes de la Shoah qui auraient été inspirées par celles de l’industrie de la viande. Un sujet polémique abordé par Franz-Olivier Giesbert.
Le gentil bouc et la perruche surdouée
Parce qu’un bouc l’a aidé, enfant, à supporter la violence de son père, Franz-Olivier Giesbert nous parle du pouvoir thérapeutique des animaux, notamment de sa perruche étonnamment douée.
Le porc ? L’homme lui fait des tours de cochons
« Julien Green s’étonnait des traits communs entre cochons et êtres humains, au point d’avoir une chair du même goût ! » Franz-Olivier Giesbert
Un végétarien qui croque la vie à pleine dents
Est-il possible pour un défenseur des animaux de rester optimiste ? Peut-on aimer les bêtes sans devenir radical ? Entre ses souvenirs de canard couvant ses œufs dans la maison familiale et son horreur des stabulations, le journaliste végétarien nous parle de son amour de l’animal.
Voir en images un extrait de l’interview :